La Cour de cassation a rendu, le 28 janvier 2020, une décision qui va faciliter l'action judiciaire à l'encontre des auteurs de pollution
Le juge des libertés et de la détention peut prononcer, sur le fondement de l'article L. 216-13 du code de l'environnement, des mesures conservatoires destinées à mettre un terme à une pollution sans qu'il soit nécessaire de caractériser une faute de la personne physique ou morale concernée de nature à engager sa responsabilité pénale.
L'action judiciaire à l'encontre des auteurs de pollution est ainsi grandement facilitée.
Arrêté limitant les conséquences de la pollution le l'Yvette